Qu’est-ce que la psychanalyse ?
La psychanalyse est avant tout une pratique ou praxis. C’est une méthode clinique d’investigation des processus psychiques profonds basée sur l’hypothèse de l’inconscient. Les objectifs de la psychanalyse freudo-lacanienne peuvent être multiples. Il s’agit, par exemple, de réduire la souffrance et de dénouer les conflits psychiques. Mais aussi d’aborder le caractère en apparence « insoluble » d’un problème qui paraît dans une répétition qui peut sembler infinie ; ou de partir « simplement » à la découverte de soi… par la parole.
Le praticien accompagnera la demande et le désir de la personne en mouvement – l’analysant – au travers d’une écoute active de son récit, notamment par l’analyse et l’interprétation des lapsus, rêves et mots d’esprit, sièges de l’inconscient. Pour cela, une règle fondamentale, « l’association libre » des mots et des idées. La liberté d’expression totale et sans encombre de l’analysant.
Lacaniens et freudiens s’accordent autour de quelques concepts essentiels comme l’importance des fantasmes sexuels infantiles et des événements oubliés de l’enfance qui forment la structure de l’inconscient et sont à l’origine de nos névroses d’adultes. Le « Moi » de l’individu, cette nécessité de pouvoir affirmer son existence par un « Je » tellement essentiel à l’expression de son individualité qu’il en est aussi vite oublié (ou impensé), est une sorte de construction en nécessaire compromis, au service d’une rencontre avec la « réalité ». Pour exprimer les douleurs du présent et exhumer les cicatrices du passé, une seule solution, parler. Les mots ressuscitent des images, réveillent la mémoire et, progressivement, attirent vers la conscience les fantasmes et ces scènes, passées et présentes, qui façonnent nos destins.
Qu’est-ce que la psychanalyse ?
La psychanalyse est avant tout une pratique ou praxis. C’est une méthode clinique d’investigation des processus psychiques profonds basée sur l’hypothèse de l’inconscient. Les objectifs de la psychanalyse freudo-lacanienne peuvent être multiples. Il s’agit, par exemple, de réduire la souffrance et de dénouer les conflits psychiques. Mais aussi d’aborder le caractère en apparence « insoluble » d’un problème qui paraît dans une répétition qui peut sembler infinie ; ou de partir « simplement » à la découverte de soi… par la parole.
Le praticien accompagnera la demande et le désir de la personne en mouvement – l’analysant – au travers d’une écoute active de son récit, notamment par l’analyse et l’interprétation des lapsus, rêves et mots d’esprit, sièges de l’inconscient. Pour cela, une règle fondamentale, « l’association libre » des mots et des idées. La liberté d’expression totale et sans encombre de l’analysant.
Lacaniens et freudiens s’accordent autour de quelques concepts essentiels comme l’importance des fantasmes sexuels infantiles et des événements oubliés de l’enfance qui forment la structure de l’inconscient et sont à l’origine de nos névroses d’adultes. Le « Moi » de l’individu, cette nécessité de pouvoir affirmer son existence par un « Je » tellement essentiel à l’expression de son individualité qu’il en est aussi vite oublié (ou impensé), est une sorte de construction en nécessaire compromis, au service d’une rencontre avec la « réalité ». Pour exprimer les douleurs du présent et les exhumer les cicatrices du passé, une seule solution, parler. Les mots ressuscitent des images, réveillent la mémoire et, progressivement, attirent vers la conscience les fantasmes et ces scènes, passées et présentes, qui façonnent nos destins.
Qu’est-ce que la psychanalyse ?
La psychanalyse est avant tout une pratique ou praxis. C’est une méthode clinique d’investigation des processus psychiques profonds basée sur l’hypothèse de l’inconscient. Les objectifs de la psychanalyse freudo-lacanienne peuvent être multiples. Il s’agit, par exemple, de réduire la souffrance et de dénouer les conflits psychiques. Mais aussi d’aborder le caractère en apparence « insoluble » d’un problème qui paraît dans une répétition qui peut sembler infinie ; ou de partir « simplement » à la découverte de soi… par la parole.
Le praticien accompagnera la demande et le désir de la personne en mouvement – l’analysant – au travers d’une écoute active de son récit, notamment par l’analyse et l’interprétation des lapsus, rêves et mots d’esprit, sièges de l’inconscient. Pour cela, une règle fondamentale, « l’association libre » des mots et des idées. La liberté d’expression totale et sans encombre de l’analysant.
Lacaniens et freudiens s’accordent autour de quelques concepts essentiels comme l’importance des fantasmes sexuels infantiles et des événements oubliés de l’enfance qui forment la structure de l’inconscient et sont à l’origine de nos névroses d’adultes. Le « Moi » de l’individu, cette nécessité de pouvoir affirmer son existence par un « Je » tellement essentiel à l’expression de son individualité qu’il en est aussi vite oublié (ou impensé), est une sorte de construction en nécessaire compromis, au service d’une rencontre avec la « réalité ». Pour exprimer les douleurs du présent et les exhumer les cicatrices du passé, une seule solution, parler. Les mots ressuscitent des images, réveillent la mémoire et, progressivement, attirent vers la conscience les fantasmes et ces scènes, passées et présentes, qui façonnent nos destins.